lundi 24 mars 2008

Déblayage de l'étage à Pâques

Nous voici pendant les vacances de pâques 2008. Au programme de ce 23 mars, déblayage de l'étage, histoire d'y voir un peu plus clair (il y a bien 10 cm d'épaisseur de gravats sur le plancher).



Une fois le plus gros retiré, avec l'aide du paternel, j'ai pu voir ce qu'il restait à démontrer, et sortir ma hache de guerre afin d'abattre ce qu'il restait, que je n'avais su faire avec le burineur, à cause de l'épaisseur des gravats.



lundi 17 mars 2008

Bonne nouvelles

Enfin de bonnes nouvelles, enfin j'espère.
J'ai eu des nouvelles, un devis va enfin arriver pour les travaux ...

Il était temps, je commençais à désespérer. Reste à voir le déroulement des événements si tout va continuer à s'enchaîner ...

Début février 2008 : suite des démolitions

Voici, avec un peu beaucoup en retard, les photos des travaux de début février. Avec l'aide de Mathieu et de Benoît, on a vidé de rez-de chaussée, et poursuivi les démolitions.



Après avoir démonté dans la matinée le chauffe-eau, j'ai pu terminer de régler son compte au mur qui séparait la cuisine de la salle de bain.



Avec tout les remblais, il reste encore des morceaux de mur à retirer sur le sol, mais il faut d'abord déblayer tout les gravats pour y voir plus clair.



Pendant que Ben et Mat commençaient à déblayer, j'ai poursuivi de démontage de la toiture des remises.



Ce n'est pas toujours un travail, très délicat. Il ne faut pas y aller par la petite cuillère pour certaines partie, comme cette longue poutre, arrachée avec une chaîne, après avoir été dessellée du mur de la maison.
Un morceau du mur en a profité pour prendre la poudre d'escampette en même temps ;o)



Ci-dessous, voici Mat dans le feux de l'action, vers la fin du déblayage (remarquez , on peut à nouveau voir le carrelage)



Encore merci d'être passé me donner un coup de main. En place c'est toujours plus sympa de travailler à plusieurs, surtout quand c'est dans la bonne humeur et en rigolant.



Voilà Ben, maître "Es-ramassette" ;op



Une fois le plus gros de la toiture démontée, sans échelle, il a fallu commencer à détruire les murs, avant de faire tomber en une fois le reste du toit des remises.



C'est assez sportif comme travail, et plutôt fatigant. Mais quel amusement de démolir des murs.



Il faut avouer que parfois c'est un peu chaud, il faut chaque fois se reculer assez vite quand les briques tombent, et ne pas tomber soi-même avec l'élan que la masse à pris.



Heureusement, on s'est relayé pour le travail à la masse. De toute façon c'était tellement amusant que personne n'aurait voulu ne pas au moins essayer.



Port du casque obligatoire.



Comment faire voler des briques en miettes en quelques coups de masse ...





Pas toujours facile ne bien viser ...



Récalcitrant ce mur tout de même ...



Une fois ce mur bien entamé, il était temps d'en finir avec cette foutue toiture.



Il s'agit d'un travail tout en finesse : tout faire tomber à force d'acharnement à la masse.




Cela a suffit a faire céder les attaches de la toiture au mur, mais pas à la faire tomber.




Il a donc fallu terminer ça à la main.



Dans l'élan de la chute finale de la toiture, ben je suis tombé avec.



Et voilà.

Depuis, je suis encore retourné continuer de démonter les autres murs des remises (on ne les voit pas ici), et démonter la toiture au sol.
Ce n'est pas encore terminé,
La suite, en images, quand les travaux auront encore avancés un peu.

To be Continued ...